J’ai tout de suite eu une réaction assez violente… On est en colère. On se demande « pourquoi nous ?» Le mot « cancer » est assez dur.
On ne comprend pas ce qu’il se passe, on ne sait pas où l’on va et ce qu’est réellement cette maladie. On sait que le cancer du poumon tue certaines personnes, donc on s’attend toujours au pire… Lorsque la pression redescend, on en discute.
On échange avec les médecins sur les traitements. On sait que cela ne va pas être simple, mais que l’on va faire en sorte que ça aille.