Lorsque j’ai entendu ces mots : « cancer du poumon », je crois que c’est la plus grosse claque que j’ai prise ! J’ai observé impuissant, les yeux de ma femme rougir, et ses jambes la lâcher en sortant du bureau…
On s’est alors dit : « il faut qu’on fasse partie du pourcentage des guérissables ». Mais ce qui est terrible, c’est quand vous rentrez chez vous avec cette nouvelle et qu’il y a les enfants. On se demande alors : « Que fait-on ? », « Comment leur annonce-t-on ? »